Tandis que la notation musicale évolue, notamment avec le développement au XIVe siècle de la musique polyphonique et au XVIe siècle de l’imprimerie musicale, la musique liturgique conserve sa forme traditionnelle. Jusqu’au XVIIe siècle voire jusqu’au XVIIIe siècle la forme musicale du plain-chant, avec une notation grégorienne, perdure dans les rituels, les bréviaires et les antiphonaires, et dans une moindre mesure dans les missels, à l’usage des prêtres et des chantres.